LSM Newswire

Monday, January 4, 2010

Production 30e Anniversaire : Tosca

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TOSCA

de Giacomo Puccini

Salle Wilfrid-Pelletier, Place des Arts

30 janvier, 3, 6, 8, 11 février 2010 à 20 h & 13 février 2010 à 14 h

AIMER À MORT

Montréal, 4 janvier 2010 — Il y a 30 ans, l’Opéra de Montréal lançait sa compagnie avec le drame et la passion de Tosca de Giacomo Puccini. Pour souligner ses trente ans d’existence, l’Opéra de Montréal remet à l’affiche l’œuvre de Puccini, ici au sommet de son art, dans une nouvelle production du San Diego Opera. Pour incarner l’histoire tragique de Floria Tosca confrontée à un dilemme insoluble pour sauver la vie de son amant, deux chanteurs qui font leurs débuts à la compagnie : la soprano germano-italienne Nicola Beller Carbone incarnera l’intense rôle-titre et le ténor canadien David Pomeroy celui de son amant, le peintre Mario Cavaradossi. À leurs côtés, le baryton-basse américain Greer Grimsley (Barbe-Bleue – 2003) incarnera le sinistre Scarpia, le chef de la police, le baryton-basse canadien Alexandre Sylvestre (L’Étoile – 2005), celui du Sacristain et le baryton-basse canadien Stephen Hegedus, le rôle de Cesare Angelotti.

La production évoluera dans des décors signés par le concepteur français Jean-Pierre Ponnelle, des costumes de Malabar et des éclairages d’Anne-Catherine Simard-Deraspe. La mise en scène a été confiée au Canadien Michael Cavanagh qui signait Turandot (1997), Madame Butterfly (2002) et Roméo et Juliette (2007) pour la compagnie. L’Orchestre Métropolitain et le Chœur de l’Opéra de Montréal seront dirigés par le chef Paul Nadler. Messieurs Cavanagh et Nadler ont d’ailleurs contribué à la réussite de la production de Roméo et Juliette présentée à la compagnie en 2007.

Apéro à l’Opéra

La grande gagnante du projet Apéro à l’Opéra, la soprano Annie Sanschagrin (Crabtree), participera également à la production de Tosca : dans les décors et avec orchestre, elle chantera le grand air Vissi d’arte et le duo du premier acte avec le ténor de la production David Pomeroy lors de la représentation du 13 février 2010 et ce, après la représentation régulière. Apéro à l’Opéra fait l’objet d’une série documentaire de sept épisodes en collaboration avec La Presse Télé et diffusée sur ARTV dès le mardi 26 janvier à 19 h (rediffusion : les samedis à 15 h 30 et dimanches à 9 h et 18 h); cette série présentera toutes les coulisses du projet et le travail des six candidats qui ont suivi une formation intensive de chanteurs d’opéra tout l’automne à l’Opéra de Montréal.

Puccini

Puccini pense à mettre en musique la pièce de Sardou dès 1896, à peine six mois après la première de La bohème, et finit par obtenir l’autorisation de l’auteur qui accepte la suppression d’un acte mais exige le maintien de la fin rapide et violente de l’œuvre. La première représentation fut un échec complet, mais Tosca ralliera très vite le public. Le livret de Giacosa et d’Illica resserre la trame narrative et évacue pratiquement le contexte historico-politique. Il concentre l’action sur l’affrontement entre Tosca, Cavaradossi et Scarpia, véritable moteur du drame. L’intrigue correspond à la mise en place du piège qu’il manigance et qui le mène à la mort avant de se refermer sur Tosca et Mario.

Avec son superbe thème caractéristique, Puccini compose une œuvre forte où le dialogue dramatique prédomine et colle au vérisme par l’expression des passions exposées crûment et ce souci du réalisme. L’atmosphère est sombre (Puccini choisit des tessitures basses et une seule voix féminine) et oppressante, et la fine musique de Puccini ne cède à aucun débordement. Le pivot dramatique de l’œuvre, l’acte II, est l’affrontement à huis clos des trois protagonistes, où Puccini dépeint avec beaucoup d’acuité l’étouffement, le piège qui se referme sur les amants. Avec Tosca, Puccini brille d’efficacité et livre l’émotion, qu’on pense seulement à l’air de lamentation du deuxième acte où Tosca chante sa douleur (Vissi d’arte, vissi d’amore), et celui de désespoir de Cavaradossi au début du troisième acte (E lucevan le stelle).

Parmi les plus célèbres cantatrices qui ont interprété le rôle de Tosca, une place particulière doit être réservée à Maria Callas qui y débuta le 27 août 1942, et acheva sa carrière scénique par ce rôle fétiche, le 5 juin 1965. Elle est considérée comme la « Tosca du siècle ».

A R G U M E N T

La cantatrice Floria Tosca est la maîtresse du peintre Mario Cavaradossi, qui vient d'aider son ami Angelotti à fuir Rome. Le chef de la police, Scarpia, joue sur la jalousie de Tosca pour piéger Cavaradossi. On annonce la victoire de Napoléon à Marengo. Cavaradossi est arrêté et Scarpia exerce un odieux chantage sur Tosca : qu'elle cède et son amant sera sauvé. Tosca accepte et Scarpia donne l'ordre qu'on simule l'exécution de Cavaradossi. Discrètement, il donne un contre-ordre, puis signe le sauf-conduit des deux amants. Lorsqu'il s'approche de Tosca, cette dernière le poignarde. Elle se précipite au château Saint-Ange et rassure son amant : I'exécution ne sera qu'un simulacre. Mais Mario est fusillé et c'est un cadavre criblé de balles que Tosca retrouve. La mort de Scarpia est découverte. Tosca enjambe le parapet et se jette dans le vide.

Opéra : Puccini – Tosca | 30 janvier, 3, 6, 8, 11 février 2010 à 20 h & 13 février 2010 à 14 h

Genre : Drame tragique

Structure : En trois actes

Langue : En italien avec surtitres français et anglais

Livret : Giuseppe Giacosa et Luigi Illica (d’après la pièce de Victorien Sardou)

Création : Rome, Teatro Costanzi, le 14 janvier 1900

Production : San Diego Opera

Dernière production à la compagnie : mars 2002

Labels:

Wednesday, December 16, 2009

Production 30e Anniversaire : Tosca de Giacomo Puccini

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TOSCA

de Giacomo Puccini

Salle Wilfrid-Pelletier, Place des Arts

30 janvier, 3, 6, 8, 11 février 2010 à 20 h & 13 février 2010 à 14 h


AIMER À MORT

Montréal, 14 décembre 2009 — Il y a 30 ans, l’Opéra de Montréal lançait sa compagnie avec le drame et la passion de Tosca de Giacomo Puccini. Pour souligner ses trente ans d’existence, l’Opéra de Montréal remet à l’affiche l’œuvre de Puccini, ici au sommet de son art, dans une nouvelle production du San Diego Opera. Pour incarner l’histoire tragique de Floria Tosca confrontée à un dilemme insoluble pour sauver la vie de son amant, deux chanteurs qui font leurs débuts à la compagnie : la soprano germano-italienne Nicola Beller Carbone incarnera l’intense rôle-titre et le ténor canadien David Pomeroy celui de son amant, le peintre Mario Cavaradossi. À leurs côtés, le baryton-basse américain Greer Grimsley (Barbe-Bleue – 2003) incarnera le sinistre Scarpia, le chef de la police, le baryton-basse canadien Alexandre Sylvestre (L’Étoile – 2005), celui du Sacristain et le baryton-basse canadien Stephen Hegedus, le rôle de Cesare Angelotti.

La production évoluera dans des décors signés par le concepteur français Jean-Pierre Ponnelle, des costumes de Malabar et des éclairages d’Anne-Catherine Simard-Deraspe. La mise en scène a été confiée au Canadien Michael Cavanagh qui signait Turandot (1997), Madame Butterfly (2002) et Roméo et Juliette (2007) pour la compagnie. L’Orchestre Métropolitain et le Chœur de l’Opéra de Montréal seront dirigés par le chef Paul Nadler. Messieurs Cavanagh et Nadler ont d’ailleurs contribué à la réussite de la production de Roméo et Juliette présentée à la compagnie en 2007.

Apéro à l’Opéra

La grande gagnante du projet Apéro à l’Opéra, la soprano Annie Sanschagrin (Crabtree), participera également à la production de Tosca : dans les décors et avec orchestre, elle chantera le grand air Vissi d’arte et le duo du premier acte avec le ténor de la production David Pomeroy lors de la représentation du 13 février 2010 et ce, après la représentation régulière. Apéro à l’Opéra fait l’objet d’une série documentaire de sept épisodes en collaboration avec La Presse Télé et diffusée sur ARTV dès le mardi 26 janvier à 19 h (rediffusion : les samedis à 15 h 30 et dimanches à 9 h et 18 h); cette série présentera toutes les coulisses du projet et le travail des six candidats qui ont suivi une formation intensive de chanteurs d’opéra tout l’automne à l’Opéra de Montréal.

Puccini

Puccini pense à mettre en musique la pièce de Sardou dès 1896, à peine six mois après la première de La bohème, et finit par obtenir l’autorisation de l’auteur qui accepte la suppression d’un acte mais exige le maintien de la fin rapide et violente de l’œuvre. La première représentation fut un échec complet, mais Tosca ralliera très vite le public. Le livret de Giacosa et d’Illica resserre la trame narrative et évacue pratiquement le contexte historico-politique. Il concentre l’action sur l’affrontement entre Tosca, Cavaradossi et Scarpia, véritable moteur du drame. L’intrigue correspond à la mise en place du piège qu’il manigance et qui le mène à la mort avant de se refermer sur Tosca et Mario.

Avec son superbe thème caractéristique, Puccini compose une œuvre forte où le dialogue dramatique prédomine et colle au vérisme par l’expression des passions exposées crûment et ce souci du réalisme. L’atmosphère est sombre (Puccini choisit des tessitures basses et une seule voix féminine) et oppressante, et la fine musique de Puccini ne cède à aucun débordement. Le pivot dramatique de l’œuvre, l’acte II, est l’affrontement à huis clos des trois protagonistes, où Puccini dépeint avec beaucoup d’acuité l’étouffement, le piège qui se referme sur les amants. Avec Tosca, Puccini brille d’efficacité et livre l’émotion, qu’on pense seulement à l’air de lamentation du deuxième acte où Tosca chante sa douleur (Vissi d’arte, vissi d’amore), et celui de désespoir de Cavaradossi au début du troisième acte (E lucevan le stelle).

Parmi les plus célèbres cantatrices qui ont interprété le rôle de Tosca, une place particulière doit être réservée à Maria Callas qui y débuta le 27 août 1942, et acheva sa carrière scénique par ce rôle fétiche, le 5 juin 1965. Elle est considérée comme la « Tosca du siècle ».

T O S C A

de GIACOMO PUCCINI


A R G U M E N T

La cantatrice Floria Tosca est la maîtresse du peintre Mario Cavaradossi, qui vient d'aider son ami Angelotti à fuir Rome. Le chef de la police, Scarpia, joue sur la jalousie de Tosca pour piéger Cavaradossi. On annonce la victoire de Napoléon à Marengo. Cavaradossi est arrêté et Scarpia exerce un odieux chantage sur Tosca : qu'elle cède et son amant sera sauvé. Tosca accepte et Scarpia donne l'ordre qu'on simule l'exécution de Cavaradossi. Discrètement, il donne un contre-ordre, puis signe le sauf-conduit des deux amants. Lorsqu'il s'approche de Tosca, cette dernière le poignarde. Elle se précipite au château Saint-Ange et rassure son amant : I'exécution ne sera qu'un simulacre. Mais Mario est fusillé et c'est un cadavre criblé de balles que Tosca retrouve. La mort de Scarpia est découverte. Tosca enjambe le parapet et se jette dans le vide.

Opéra : Puccini – Tosca | 30 janvier, 3, 6, 8, 11 février 2010 à 20 h & 13 février 2010 à 14 h

Genre : Drame tragique

Structure : En trois actes

Langue : En italien avec surtitres français et anglais

Livret : Giuseppe Giacosa et Luigi Illica (d’après la pièce de Victorien Sardou)

Création : Rome, Teatro Costanzi, le 14 janvier 1900

Production : San Diego Opera

Dernière production à la compagnie : mars 2002


DISTRIBUTION

Floria Tosca

Nicola Beller Carbone, soprano (Allemagne)

Directrice artistique du Piccolo Teatro Sant’Andrea et membre de Le Arti Orafe Academy de Lucques, Nicola Beller Carbone étudie d’abord l’art dramatique avant de se tourner vers le chant. Parmi ses engagements des dernières saisons, on remarque le rôle-titre de Salome à l’Aalto Theater d’Essen, au Deutsches Nationaltheater de Weimar, au Teatro Regio de Turin et au Grand Théâtre de Genève ; le rôle-titre dans Tosca au Staatstheater de Darmstadt, à l’Opéra de Nice, à l’Opéra de Nantes et à l’Opéra National de Grèce ; Marie (Wozzeck) à l’Aalto Theater d’Essen ; Jenny (Rise and Fall of the City of Mahagonny) et Santuzza (Cavalleria rusticana) au Deutsche Oper de Berlin. Débuts à l’OdM.


Cavaradossi

David Pomeroy, ténor (Canada)

Doté d’une riche voix de ténor et de notes aiguës sensationnelles, David Pomeroy a attiré l’attention des directeurs artistiques partout à travers le monde. Ses engagements récents lui ont permis d’aborder Ladislov (Les deux veuves) au Edinburgh Festival en Écosse, Pinkerton (Madame Butterfly) à l’Opera Theatre de St. Louis et au Michigan Opera Theatre, Ruggero (La Rondine) aussi au Michigan Opera Theatre, Skuratov (De la maison des morts) à la Canadian Opera Company, le Duc de Mantoue (Rigoletto) au Calgary Opera et Don José (Carmen) au Vancouver Opera. Il a aussi chanté avec la plupart des orchestres et sociétés chorales d’importance au Canada, en plus de participer à des enregistrements pour la compagnie Centrediscs. Dernière présence à l’OdM : Débuts à l’OdM.


Scarpia

Greer Grimsley, baryton-basse (États-Unis)

Greer Grimsley est reconnu à travers le monde pour ses dons remarquables de chanteur et d’acteur, en plus d’être un chef de file parmi les interprètes du répertoire wagnérien. Il a fait ses débuts au Metropolitan Opera dans le rôle du Capitaine Balstrode (Peter Grimes) pour ensuite y interpréter Escamillo (Carmen), Jokanaan (Salomé), Scarpia (Tosca), Telramund (Lohengrin) et Amfortas (Parsifal). Il a d’abord retenu l’attention internationale dans Escamillo (La tragédie de Carmen) partout à travers le monde. Parmi ses plus récentes apparitions sur scène on remarque Don Pizzarro (Fidelio) avec l’Opera Company of Philadelphia, le Portland Opera et l’Opéra National Portugais, ainsi que Scarpia (Tosca) avec le San Diego Opera. Dernière présence à l’OdM : Le château de Barbe-Bleue (2004).


Le Sacristain

Alexandre Sylvestre, baryton-basse (Canada)

Ancien membre de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal, Alexandre Sylvestre a fait ses débuts à l’Opéra de Montréal dans les rôles de Zalzal et du Chef de police (L’étoile) en 2005, pour être ensuite invité à chanter au Gala 2006. Parmi ses plus récentes prises de rôle : le Duc de Vérone (Roméo et Juliette), le Prince Yamadori (Madame Butterfly) et Jack Wallace (La fanciulla del West) à l’Opéra de Montréal, le deuxième Prêtre (La flûte enchantée) pour le Pacific Opera de Victoria et Orchestra London, ainsi que le Stabat Mater de Haydn avec Les Violons du Roy. Dernière présence à l’OdM : Le Gala (2009).

Angelotti

Stephen Hegedus baryton-basse (Canada)

Un ancien de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal, Stephen Hegedus a été décrit comme « un acteur charmant et, mieux encore, un chanteur au potentiel énorme » (Opera Canada). Il a fait ses débuts à l’Opéra de Montréal dans le rôle de Silvano (Un bal masqué) et y revient en Grégorio (Roméo et Juliette), Fiorello (Le barbiere de Séville) et Il Commissario (Madame Butterfly). Parmi ses engagements récents : le rôle-titre des Noces de Figaro au Teatro Municipal de Santiago, le rôle de Don Alfonso (Così fan tutte), avec l’Atelier lyrique, et la Messe en si mineur de Bach au Carnegie Hall. Dernière présence à l’OdM : Macbeth (2009).


Spoletta

AARON FERGUSON, TÉNOR (Canada)

Présentement en première année à l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal, il chantera Charles Gill (Nelligan) dans la production de l’Atelier et Le Doyen de la Faculté (Cendrillon) à l’Opéra de Montréal. Aussi, il est soliste du spectacle Noël à l’opéra avec l’Orchestre Métropolitain et dans le Requiem de Mozart avec l’Orchestre symphonique de Laval. Récemment, il a chanté Apollo (Semele) et un Cénobite (Thaïs) au Pacific Opera Victoria, de même que dans l’Ode to St. Cecilia’s Day de Handel avec le Victoria Symphony. Dernière présence à la compagnie : Le Gala (2009).


Sciarrone

Roy del Valle, baRYTON (MEXIQUE)

Natif du Mexique, Roy Del Valle en est à sa deuxième saison à l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal. Il a chanté dans plusieurs productions canadiennes notamment au Banff Centre for the Arts, à l’Institut d’études méditerranéennes de Montréal, avec le McGill Chamber Orchestra, l’Orchestre Métropolitain et l’Atelier lyrique et l’Opéra de Montréal. À l’Opéra de Montréal, il chantera Le Surintendant des Plaisirs (Cendrillon). Dernière présence à la compagnie : Macbeth (2009).


Geôlier

Pierre Rancourt, barYTON (Canada)

En première année à l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal, Pierre Rancourt participe cette saison aux productions de Gianni Schicchi, La flûte enchantée, Tosca et Cendrillon à l’Opéra de Montréal et à celle de Nelligan de l’Atelier lyrique. Avant son entrée à l’Atelier, il a chanté Don Magnifico (La Cenerentola) à Opera NUOVA, Giove (La Calisto) à l’Atelier d’opéra de l’Université Laval et la Messe Nelson de Haydn avec l’Ensemble Polyphonia de Québec. Dernière présence à la compagnie : La flûte enchantée (2009).


Berger

Suzanne Rigden, SOPRANO (CANADA)

En première année à l’Atelier lyrique, Suzanne Rigden a déjà reçu de nombreux prix de chant dont le Metropolitan Opera First Encouragement Award 2009; elle est l’une des lauréates du concours des Jeunes ambassadeurs lyriques 2009. On a pu l’entendre récemment sur notre scène dans l’un des trois esprits dans La flûte enchantée et chantera Gertrude (Nelligan) dans la production de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal. Dernière présence à la compagnie : La flûte enchantée (2009).


Chef d’orchestre

Paul Nadler (États-Unis)

L’un des chefs les plus enthousiasmants les plus respectés au monde, il a dirigé plus de 50 représentations au Metropolitan Opera, parmi lesquelles Rigoletto, Un bal masqué, Aida, Le barbier de Séville, Tannhäuser, Don Carlo, Andrea Chénier, La traviata, Carmen et Fidelio, avec des vedettes telles Luciano Pavarotti, Plácido Domingo, Karita Mattila, Bryn Terfel et Ben Heppner. Il a aussi collaboré avec des solistes renommés : Garrick Ohlsson, Emmanuel Ax, Misha Dichter, Elmar Olivera et Glenn Dicterow. Il est le directeur musical honoraire du Southwest Florida Symphony Orchestra, principal chef invité du Filarmonica de Stat Iasi (Roumanie), co-directeur et fondateur de l’International Vocal Arts Institute et fondateur du Cincinnati Chamber Orchestra. Dernière présence à l’OdM : Le Gala (2008).


Metteur en scène

Michael Cavanagh (Canada)

L’un des metteurs en scène les plus polyvalents et les plus populaires de tout le Canada, il a dirigé des opéras partout au pays : au Vancouver Opera (L’Italienne à Alger, Carmen, The Rake's Progress, Don Giovanni, Madame Butterfly), au Edmonton Opera (Macbeth, Of Mice and Men, La traviata, La bohème, The Rake's Progress), Opera Lyra Ottawa (La fille du régiment, Un bal masqué, Les pêcheurs de perles), à l’Opéra de Montréal (Turandot, Madame Butterfly), au Manitoba Opera (Cavalleria rusticana, Pagliacci) et au Calgary Opera (Tosca, Le barbier de Séville, La traviata, La Cenerentola). Aux États-Unis, il a travaillé pour plusieurs compagnies, parmi lesquelles le Minnesota Opera, le Hawaii Opera Theatre, l’Arizona Opera, l’Austin Lyric Opera et le Tulsa Opera. Dernière présence à l’OdM : Roméo et Juliette (2007).


Décors

Jean-Pierre Ponnelle (FRANCE)

Jean-Pierre Ponnelle (1932-1988) a été un grand metteur en scène qui a laissé sa marque sur plusieurs opéras, auprès des plus grandes maisons d’Europe et des États-Unis. Il fit ses débuts en Allemagne en 1952 avec la conception de l’opéra Boulevard Solitude de Henze. Après avoir fait les décors et la mise en scène de Tristan und Isolde en 1962, il décida de s’occuper de tous les aspects de la mise en scène d’opéra. Il fut un partisan de la première heure des co-productions internationales, dans lesquelles deux ou plusieurs compagnies d’opéra partagent le succès d’une nouvelle mise en scène. Parmi ses œuvres, on compte de nombreuses productions au Metropolitan Opera et au San Francisco Opera, mais aussi des versions filmées d’opéras pour la télévision et le cinéma. Débuts à l’OdM.


Éclairages

ANNE-CATHERINE SIMARD-DERASPE (Canada)

Au théâtre, elle a conçu les éclairages pour Les fourberies de Scapin (Théâtre Denise-Pelletier), Le caillou de saturne (Théâtre du p'tit loup), Le père Léonidas et la Réaction (Montreal Arts Interculturel), Ce fou de Platonov (Théâtre Prospero); Molière en hiver (Bain St-Michel) et Théâtre sans animaux (Théâtre La Licorne) À l’opéra, elle a réalisé les éclairages pour Il tabarro/Suor Angelica (Opéra de Montréal, 2006) et était assistante aux éclairages pour Thaïs (Palm Beach Opera). Directrice technique et conceptrice pour I Musici de Montréal, elle est présentement directrice technique au Centre d'Arts Orford. Dernière présence à la compagnie : La flûte enchantée (2009).


MétrOpéra autour de Puccini et l’opéra italien par les chanteurs de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal. Dates : à déterminer ; station : Berri-UQAM.

PréOpéra - conférence sur l’œuvre, donnée par le musicologue Pierre Vachon avant chaque représentation, à 18 h 45 (soirée) ou 12 h 45 (matinée), au Piano Nobile de la PDA.


Opéra de Montréal | Saison 0910


Tous les opéras sont présentés en langue originelle, avec surtitres bilingues projetés au-dessus de la scène.


Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts (PDA)

VerdiSimon Boccanegra | 13, 17, 20, 22, 25 mars 2010 à 20 h

Massenet Cendrillon | 22, 26, 29, 31 mai 2010 & 3 juin 2010 à 20 h

Monument-National

Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal

Gagnon-TremblayNelligan | 6, 8, 10, 11 mars 2010 à 20 h & 13 mars 2010 à 14 h

Vente de Billets

Abonnement pour les 18 à 30 ans : La banque td t’emmène à l’opéra

Grâce au soutien de TD Canada Trust, l’Opéra de Montréal poursuit son offre spéciale d’abonnement destinée aux jeunes de 18 à 30 ans : 30 $ le billet avec l’abonnement ! Achat minimal requis de deux opéras de la saison régulière. Abonnements offerts à la billetterie de la Place des Arts.

Billets À la Pièce

Billetterie de la Place des Arts : 514-842-2112 • 1 866 842-2112

À partir de 46 $.

operademontreal.com

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Tuesday, December 1, 2009

Gala de l'Opéra de Montréal

La 30e saison 09/10
30 ANS ET LE MÊME ENCHANTEMENT !


LE GALA, 14e Édition
Événement-bénéfice
Salle Wilfrid-Pelletier, Place des Arts
Le 6 décembre 2009 à 14 h

Le Gala sera précédé de l'intronisation, à titre posthume,
au Panthéon canadien de l'art lyrique
du père Fernand Lindsay, csv

30 AIRS POUR NOS 30 ANS
et les gagnants d'Apéro à l'opéra

Montréal, le mardi 17 novembre 2009 – L'Opéra de Montréal est fier de pouvoir se donner des airs… et les offrir à son public friand de belles et grandes voix! Pour souligner ses 30 ans, la compagnie met au programme pas moins de 30 airs choisis du répertoire lyrique parmi les préférés du public lors de la 14e édition du Gala bénéfice de l'Opéra de Montréal, sous la présidence d'honneur de madame Jacqueline Desmarais. Le Gala fera également entendre les gagnants du projet Apéro à l'opéra pour la première fois sur notre scène. Il sera capté par Espace musique, diffuseur officiel, pour diffusion ultérieure sur les ondes d'Espace musique et de la webradio d'Espace classique de Radio-Canada et fera l'objet d'un coffret double sous étiquette ATMA Classique.


Événement toujours très attendu du public, le Gala se tiendra le dimanche 6 décembre 2009 à 14 h à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, en présence de 25 artistes lyriques canadiens. Alain Trudel dirigera l'Orchestre Métropolitain ainsi que le Chœur de l'Opéra de Montréal. Un hommage posthume sera rendu à cette occasion au père Fernand Lindsay, csv.

Ce rendez-vous des amoureux du chant offrira un florilège des plus grands airs d'opéra, duos et ensembles choisis du répertoire opératique parmi les favoris du public. Les plus belles voix d'ici, des habitués de notre scène à de nouveaux artistes, incluant des talents lyriques de la relève québécoise, fouleront la scène dans la peau des personnages vibrants que le talent des grands compositeurs a animés. Parmi les compositeurs au programme : Verdi, Wagner, Mozart, Puccini, Donizetti, Strauss, Massenet, Gounod, Leoncavallo, Gershwin, Tchaikovski, Handel…

Les artistes présents cette année : Phillip Addis, Pascale Beaudin, Antoine Bélanger, Caroline Bleau, Layla Claire, Gianna Corbisiero, Gregory Dahl, Étienne Dupuis, Aaron Ferguson, Marianne Fiset, Lyne Fortin, Simon Gfeller, Marc Hervieux, Randall Jakobsh, Aline Kutan, Marianne Lambert, Gaétan Laperrière, Marie-Josée Lord, Stephanie Marshall, Allyson McHardy, Aaron St. Clair Nicholson, Raphaëlle Paquette, Annamaria Popescu, Nora Sourouzian, Alexandre Sylvestre, et les gagnants du projet Apéro à l'opéra.

Maestro Alain Trudel dirigera le Chœur de l'Opéra de Montréal et l'Orchestre Métropolitain. Alain Trudel jouit d'une réputation de musicien hors-pair. Chef titulaire du CBC Radio Orchestra et principal chef invité du Victoria Symphony Orchestra, il est également le chef du Toronto Symphony Youth Orchestra, en plus d'être directeur musical et chef de l'Orchestre symphonique de Laval. Il a été invité à diriger de nombreux orchestres ici et ailleurs, parmi lesquels le Toronto Symphony Orchestra, le Vancouver Symphony Orchestra, l'orchestre du Centre National des Arts, Les Violons du Roy, l'Orchestre Métropolitain, le City Chamber Orchestra of Hong Kong, l'Orquestra Sinfonica de Guatemala, le Tokyo Metropolitan Chamber Orchestra, le Northern Sinfonia au Royaume-Uni et l'Orchestre de Saint-Pétersbourg. Dernière présence à l'OdM : La flûte enchantée (novembre 2009).


Intronisation au Panthéon canadien de l'art lyrique

Le Gala rend un hommage vibrant à une personnalité lyrique qui a marqué le monde de l'opéra au Canada. Cette année, les honneurs reviendront, à titre posthume, au père Fernand Lindsay, csv, qui sera intronisé au Panthéon canadien de l'art lyrique de l'Opéra de Montréal, rejoignant les 51 membres intronisés à ce jour, et soulignant ainsi son talent et son grand rayonnement sur la scène nationale et internationale.

PÈRE FERNAND LINDSAY

Fernand Lindsay naît à Trois-Pistoles en 1928, dans une famille où la culture tient une place de choix. Le jeune Fernand débute l'apprentissage du piano à l'âge de 5 ans et touche l'orgue dès l'âge de 10 ans. C'est en captant des émissions de musique classique sur le poste de radio familial qu'il découvre un univers fascinant, la passion de toute une vie. Après des études au Séminaire de Rimouski où il se met à l'étude de la clarinette et se joint à l'orchestre du collège, il suit les conseils de son oncle Georges Lindsay, organiste à la Cathédrale de Montréal et directeur du Conservatoire de Chicoutimi qui lui suggère de poursuivre ses études au Séminaire de Joliette; l'institution représentera pour lui une école de rêve pour tout musicien aspirant à une carrière professionnelle.

La Société des concerts et la Société des amis du Séminaire donneront l'occasion à Fernand Lindsay d'entendre des solistes de réputation internationale dont Pierrette Alarie et le célèbre ténor italien Tito Schipa. Le Séminaire de Joliette, en raison de la présence des Clercs de Saint-Viateur, est un milieu propice à la découverte et à l'exploration de la culture sous toutes ses formes. Pour s'assurer une place au sein de l'orchestre du Séminaire, Fernand étudie aussi le basson et perfectionne sa technique à Montréal auprès de Louis Letellier, membre de l'orchestre de la NBC dirigé alors par l'illustre Arturo Toscanini.

Passionné de musique, il est aussi un ardent sportif. Fernand et son frère s'adonnent à la pratique du hockey, mais excellent vraiment au tennis.

Jamais Fernand Lindsay n'a songé à faire carrière dans la musique. Sa mission sera plutôt d'en apprécier l'écoute pour pouvoir ensuite mieux la partager avec d'autres. Suivant l'exemple de ses maîtres il choisit de devenir Clerc de Saint-Viateur. « Ces professeurs avaient déjà créé une tradition, avoue-t-il, j'ai tout simplement voulu poursuivre ce qu'ils avaient commencé ». Il est ordonné prêtre en 1953 et se voue principalement à l'enseignement. Qu'il s'agisse du français, du latin, de l'histoire, de la philosophie ou de la littérature musicale, le père Lindsay s'y adonne en pédagogue passionné. Animateur inspiré, il fonde le Club Bartok dans le but d'initier les pensionnaires à la musique classique.

En 1963, après 10 ans d'enseignement et une licence en philosophie, la communauté propose au père Lindsay de se spécialiser à Paris, à la Sorbonne. Avant le début de ses études, il dispose de trois mois qu'il met à profit en faisant une tournée des festivals de musique. Il va à Salzbourg où il vit, selon ses propres mots « le choc de sa vie » lorsqu'il assiste à des représentations de La flûte enchantée, de Cosi fan tutte et du Chevalier à la rose. Quelques jours plus tard, à Bayreuth, il se plonge dans l'univers wagnérien où il assiste aux représentations de Parsifal, des Maîtres chanteurs de Nuremberg et la tétralogie. Puis suivront des voyages à Munich et à Vienne. Ce périple musical laisse des traces profondes chez ce jeune homme de 35 ans. Déjà directeur des Jeunesses musicales de Joliette depuis 57, il rêve que ce programme se prolonge par une série de concerts. Il devra attendre 12 ans avant que prenne naissance l'embryon de ce qui deviendra un jour le Festival international de Lanaudière. Il fonde le camp musical de Lanaudière en 1967 pour récompenser les gagnants du Festival-Concours de Musique institué en 1962. Le Festival international de Lanaudière, quant à lui, est officiellement fondé en 1977 ; il en sera le Directeur artistique jusqu'à la fin de sa vie. La suite d'artistes de réputation internationale à avoir participé au festival est impressionnante. Une programmation de qualité aura permis aux mélomanes de voir et d'entendre les James Morris, Cecilia Bartoli, Wilhelmenia Fernandez, Renata Scotto, Karita Mattila, Dimitri Hvorostovsky, et Gwyneth Jones pour ne citer que ceux-là.

Le père Fernand Lindsay aura pendant plus de 40 ans contribué à faire de la région de Joliette une capitale musicale. Son histoire est celle d'un homme qui s'est donné pour mission de promouvoir la musique, de la faire découvrir et d'en assurer le rayonnement. Ses qualités de pédagogue et de visionnaire sont un exemple pour nous tous. Fier de ses nombreuses réussites, le père Lindsay a néanmoins conservé une attitude humble face à son grand succès. Combiner modestie, simplicité, générosité, détermination et réussite en auront fait un être extraordinaire, un géant de la musique au Québec et un ambassadeur culturel de la plus haute tenue.

« La musique est une des plus belles choses qui soit. Voilà peut-être, disait-il, le vrai visage de Dieu. »

Opéra de Montréal
Le Gala – 14e édition
Dimanche 6 décembre 2009 à 14 h
Salle Wilfrid-Pelletier – Place des Arts
25 chanteurs, le Chœur de l'Opéra de Montréal et l'Orchestre Métropolitain,
sous la direction d'Alain Trudel.
précédé de l'intronisation au Panthéon canadien de l'art lyrique du père Fernand Lindsay, csv.
Billets : 49 $, 76 $, 106 $, 136 $ + (taxes et redevance comprises)
Billetterie PdA : (514) 842-2112

500 VIP* - CONTACTER MONIQUE DENIS : 985.2222, poste 2221
*un reçu de charité est remis

Production à venir : Tosca de Puccini
Production 30e anniversaire
Le 30 janvier et les 3, 6, 8, 11 février 2010 à 20 h et 13 février 2010 à 14 h
Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts.
Paul Nadler dirige l'Orchestre métropolitain

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Friday, October 2, 2009

Début de saison triomphal et critiques unanimes

Pagliacci de Ruggero Leoncavallo / et GIANNI SCHICCHI de Giacomo Puccini
NOUVELLES PRODUCTIONS



Montréal — Les critiques sont unanimes : début de saison triomphal pour le doublé qui lance la 30e saison de l’Opéra de Montréal et qui réunit une distribution largement québécoise.

Grand spectacle d’ouverture à l’Opéra de Montréal, avec ce diptyque Paillasse-Giannie Schicchi D’une rare intelligence et d’une impressionnante cohésion. […] Impossible de ne pas placer au-dessus du lot l’équipe scénique… […]Alain Gauthier devient ainsi la valeur sûre de l’Opéra […] Magnifique équipe menée par l’excellent Schicchi de Gregory Dahl.

-Le Devoir, Christophe Huss


Double triomphe à l’Opéra de Montréal. Le programme double qui ouvre la 30e saison de l’Opéra de Montréal est l’une des grandes réussites de notre compagnie lyrique. […] Voici, de la part d’Alain Gauthier, de la grande mise en scène […] Marc Hervieux fut le héros de la prima, poussant sa voix de stentor au maximum pour exprimer tout le désespoir du mari trompé […] Dahl fut brillant et amusant dans le rôle-titre de Gianni Schicchi […]

-La Presse, Claude Gingras


Doublé remarquable. La compagnie ouvrait sa 30e saison samedi à la sale WIlfrid-Pelletier en présentant une affiche double admirable et solide, pleinement tragique, pleinement drôle et tout à fait représentative du genre… […]

-The Gazette, Arthur Kaptainis


À chaud, donc je vous dirai d’abord que je suis émerveillé, soufflé, même, par la performance du ténor Marc Hervieux. Quel bonheur, quel privilège de le voir se frotter avec autant de bonheur à l’un des plus grands rôles du répertoire, dans lequel Caruso et Pavarotti ont excellé avant lui! Le Canio de Marc Hervieux est proprement terrifiant! Il rend à merveille toute la jalousie et la violence de ce «pagliacci», membre d’une troupe de comédiens ambulants, qui assassinera sa femme, Nedda, (la soprano Marie-Josée Lord révèle son grand talent de comédienne) et l’amant de cette dernière. Bonjour frissons! […] Quelle joie de constater que la distribution est presque entièrement québécoise. Le Québec produit de grandes voix. L’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal a permis l’émergence d’une solide relève, de toute évidence. Ce soir, particulièrement, cela saute aux yeux.
L’actualité, Pierre Cayouette

Les gens qui passent près de moi sont unanimes, le public est conquis, heureux de voir tant de chanteurs d’ici réunis dans un tel spectacle. On sent le plaisir partout, ce soir. Et tout le monde réclame d'autres spectacles aussi colorés et excitants. Chapeau à toute l'équipe!
Espace classique, Radio-Canada, Françoise Davoine

Dans une mise en scène remarquable d’Alain Gauthier, secondé avec brio par Olivier Landreville aux décors, Joyce Gauthier aux costumes, Claude Accolas aux éclairages, ce spectacle présente multiples facettes des arts de la scène et ce, avec excellence. C’est aussi l’occasion de découvrir nos talents d’ici avec une distribution de haut niveau telle que Marc Hervieux, Marie-Josée Lord, Marie-Nicole Lemieux, Marianne Fiset, Étienne Dupuis et Pascal Charbonneau.

Il est encore temps de se procurer des billets pour les quatre dernières représentations.

Billets À la Pièce
Billetterie de la Place des Arts : 514-842-2112 • 1 866 842-2112
À partir de 46 $ et en vente dès le 5 août 2009.

Visitez operademontreal.com pour obtenir plus de renseignements sur les productions, les événements spéciaux et les programmes éducatifs, les formules d’abonnement, le prix des billets simples et de groupe, les forfaits PRIMA et corporatifs.

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Thursday, June 4, 2009

Horaire de ce soir - Opéra de Montréal - Sous les étoiles

LUCIA DI LAMMERMOOR

SOUS LES ÉTOILES

Projection en direct sur grand écran extérieur

Esplanade de la Place des Arts

Jeudi 4 juin 2009

Une présentation de l'Opéra de Montréal

en partenariat avec

BELL

Déroulement

17 h 30 – 18 h 45 Entrevues individuelles possibles avec les directeurs général et artistique Pierre Dufour et Michel Beaulac de l'Opéra de Montréal

19 h 30 visite à l'opéra : projection d'un DVD sur les coulisses de l'OdM

19 h 50 Brèves allocutions sur la scène des directeurs général et artistique de l'Opéra de Montréal : Pierre Dufour et Michel Beaulac


20 h Début de la projection

20 h 15 : pause 1 : visite des coulisses avec Dufour

20 h 45 : 1er entracte : visite des coulisses et interviews avec les artistes

21 h 45 : 2e entracte : documentaire coopéra – 10 min

22 h 00 : pause 2 : visite des coulisses avec Dufour

22 h 30 : pause 3 : visite des coulisses avec Dufour


www.operademontreal.com

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Thursday, May 28, 2009

L'Opéra de Montréal sous les étoiles

Jeudi le 4 juin à 20h, l’Opéra de Montréal présente Lucia di Lammermoor en direct de l’opéra sur écran géant extérieur.

La projection a lieu à l’Esplanade de la Place des Arts et l’entrée est libre.




www.operademontreal.com/

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Monday, May 18, 2009

L'Opéra dans le métro


Le métro vous chante l'opéra italien : MÉTROPÉRA

Dernier événement de la série des événements urbains

de l'Opéra de Montréal

en partenariat avec la Société de transport de Montréal

dans les stations de métro


Le dernier événement de la série MétrOpéra présenté par l'Opéra de Montréal, en collaboration avec la Société de transport de Montréal (STM) se tiendra les 19, 20 et 21 mai 2009 de 16h30 à 17 h dans deux stations de métro de la STM. Depuis la présentation du premier métrOpéra (Mozart prend le métro, mars 2006), des centaines d'usagers du métro de Montréal se massent chaque fois pour entendre les plus beaux airs d'opéra chantés par les chanteurs professionnels de l'Atelier lyrique de l'Opéra de Montréal. Cet événement urbain se greffe à la présentation de l'opéra Lucia di Lammermoor de Gaetano Donizetti, présenté dans le cadre de la 29e saison de l'Opéra du 23 mai au 4 juin 2009 à 20 h à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts.


Dates et lieux des MÉTROPÉRAS

Mardi 19 mai, 16 h 30 à 17 h : station Berri-UQAM

Mercredi 20 mai, 16 h 30 à 17 h : station Place des Arts

Jeudi 21 mai, 16 h 30 à 17 h : station Berri-UQAM


Pour la STM, ce partenariat avec l'une des plus prestigieuses institutions culturelles de Montréal témoigne de sa volonté d'agrémenter les déplacements de ses clients en présentant, en collaboration avec le milieu, des événements culturels de qualité. Pour l'Opéra de Montréal, les événements métrOpéra sont en ligne avec les efforts de démocratisation de la compagnie lyrique de permettre une plus grande accessibilité de l'opéra auprès du public.


Pour en savoir davantage : www.operademontreal.com



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Thursday, January 22, 2009

Répétitions de l'Opéra Macbeth


René Richard Cyr

revisite

MACBETH

de Giuseppe VERDI

Salle Wilfrid-Pelletier, Place des Arts

31 janvier · 4 · 7 · 9 · 12 février 2009 à 20 h

NOUVELLE PRODUCTION

en collaboration avec Opera Australia

Présentation Mouvement des caisses Desjardins

Appel de caméra & SESSION DE PHOTOS

AUX DEUX GÉNÉRALES

SALLE WILFRID-PELLETIER

ENTRÉE : 260, boul. de Maisonneuve Ouest

(Entrée des artistes de la PDA)

Avec costumes, décors, maquillage, chœur, orchestre, scène avec les chanteurs et solistes

MERCREDI 28 JANVIER 2009, 19 h

Chef d' orchestre : Stephen Lord

JEUDI 29 JANVIER 2009, 19 h

Chef d' orchestre : Stephen Lord

Confirmation requise auprès de :

ALAIN LABONTÉ 514-523-9922 | alain@alainlabonte.ca

Macbeth John Fanning, baryton / baritone

Lady Macbeth Michele Capalbo, soprano / soprano

Macduff Roger Honeywell, ténor / tenor

Banquo Brian McIntosh, baryton-basse / bass-baritone

Malcolm Luc Robert, ténor / tenor

Un Médecin / A Doctor Alexandre Sylvestre1, baryton-basse / bass-baritone

Une Servante / Lady-in-Waiting Lara Ciekiewicz1, soprano / soprano

Un Serviteur / A Servant Roy Del Valle1, baryton-basse / bass-baritone

Un Assassin / A Murderer Stephen Hegedus1, baryton-basse / bass-baritone

Direction musicale / Conductor Stephen Lord

Mise en scène / Stage Director René Richard Cyr

Concepteur des décors / Set Designer Claude Goyette

Concepteur des costumes / Costume Designer François St-Aubin

Concepteur d'éclairages / Lighting Designer Étienne Boucher

Chef de chœur / Chorus Master Claude Webster

Pianiste-répétitrice / Rehearsal Pianist Esther Gonthier

Orchestre symphonique de Montréal

Chœur de l'Opéra de Montréal

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